DLTE : La méthode pour réussir ses formations à distance

Crise sanitaire oblige, la formation à distance n’est plus un choix mais une nécessité. Comment faire alors quand on a passé tant d’année à hésiter ? Comment faire quand le digital n’est toujours qu’un épiphénomène dans l’entreprise ? Quel succès espérer après des milliers d’euros d’investissement pour si peu de résultats ? Ce sont ces questions auxquelles les formateurs indépendants, les directeurs d’organisme de formation ou encore les directeurs formations des entreprises sont confrontés chaque jour depuis des mois. Les réponses à ces questions sont désormais consignées dans la méthode DLTE.
Les grands principes de la méthode
La méthode DLTE est conçue comme un guide pas à pas, que chaque formateur peut suivre et mettre en œuvre de manière simple. Très loin des approches théoriques de la formation à distance, elle oriente ses utilisateurs vers le chemin le plus efficace. Son efficacité réside dans la recherche permanente du meilleur ratio entre le temps que devra passer le formateur pour concevoir son parcours de formation et la pertinence pédagogique proposée à l’apprenant. C’est cette recherche du parfait équilibre entre ces deux éléments qui fait le succès de la méthode.
Là où la tendance des derniers mois a consisté à faire du « présentiel projeté », c’est-à-dire des classes virtuelles de 3, 4, 5 voire 7 heures pour lesquelles les stratégies d’animation restent quasi identiques à celles du présentiel. L’ingénierie pédagogique DLTE est rythmé par l’alternance d’activités synchrones (en présence du formateur) et asynchrones (sans formateur) pour l’apprenant. Ce séquençage DLTE s’écrit d’ailleurs comme une partition de musique. Cette innovation propre à la méthode facilite grandement l’approche multimodale des parcours longs.
Par ailleurs, la méthode DLTE replace le formateur (tuteur) comme le personnage central du dispositif. Le formateur n’est pas seulement l’animateur des séances pédagogiques synchrones, il est également l’animateur des phases asynchrones. Ceci pourrait être considéré comme une évidence. Pourtant, les formations à distance, qu’elles soient diffusées dans des grandes entreprises ou des petites structures, négligent de manière massive la place de l’accompagnement. Dans cette méthode, on rappelle régulièrement que l’engagement de l’apprenant est absolument proportionnel à l’engagement du formateur.
Dernier élément important de la méthode, elle s’affranchit des technologies propres au digital learning. Elle ne s’y oppose pas mais n’en fait pas un prérequis. Avec ou sans LMS, avec ou sans outil-auteur, et quelles que soient les fonctionnalités de votre outil de visio-conférence, la démarche proposée peut s’appliquer. On pourrait même retenir de la méthode que moins l’outil est présent et plus le formateur devra l’être : c’est de ce point que la qualité de la formation naîtra.
A la différence des formations qui accompagnent les formateurs vers une nouvelle approche pédagogique propre au digital learning, la méthode DLTE livre une approche pragmatique et directement applicable.
Un succès de terrain
Edité en avril 2020, la méthode a rencontré immédiatement un très grand succès. Avec plus de 700 certifiés fin septembre, elle devrait en compter plus de 1 000 d’ici la fin de l’année.
Ce succès est principalement dû aux résultats validés par ceux qui ont appliqué la méthode. Le pragmatisme de cette dernière se concrétise dans le quotidien de ceux qui ont été formés et certifiés.
Conçue en 3 blocs de compétences certifiants, elle permet à chacun de choisir son rythme et son niveau pour répondre au plus juste par rapport à ces enjeux opérationnels.
Avec cette approche un grand nombre de structures qui n’avaient jamais ou peu mis en place le digital learning ont mis à disposition de leurs stagiaires des parcours multimodaux en seulement quelques jours.
DLTE, apporte un accélérateur de satisfaction pour les formateurs, comme pour les apprenants en visant des objectifs simples et concrets déconnectés de toute dimension technologique pure. D’ailleurs, une bonne formation ne devrait pas laisser de souvenir de la modalité employée. On doit simplement se souvenir du résultat, de la satisfaction. Demandez à un lecteur alternant des livres papiers et numériques quel est son meilleur livre de l’année ? Il ne vous parlera jamais du support sur lequel il l’a lu. Il ne vous parlera que du fond. Il en va de même pour la formation. Ce n’est pas l’expérience technologique qui compte mais l’expérience d’apprentissage. Avec la méthode DLTE, les apprenants sont considérés comme des clients dont la satisfaction viendra de la réelle expérience pédagogique multimodale. DLTE donne les clés à chaque formateur pour atteindre cet objectif.
Pour en savoir plus sur cette méthode, rendez-vous ici.